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Cette page contient des conseils pour l'utilisation des shapefiles qui doivent être importés ou synchronisés dans Logo.

Principes de base des shapefiles

Les shapefiles …

  • Contiennent toujours des données vectorielles, pas de données raster

  • Ne peuvent contenir que des objets d'un type géométrique, c'est-à-dire des points, des lignes ou des surfaces.

  • Se composent de plusieurs fichiers, mais tous ne sont pas obligatoires :

    • *.shp - Contient les données géométriques des objets géographiques (obligatoire)

    • *.shx - Contient l'index des objets géographiques (obligatoire)

    • *.dbf - Tableau dBase contenant les attributs des objets géographiques (obligatoire)

    • *.prj - Contient des informations sur le système de coordonnées des objets géographiques (non obligatoire, mais utile).

    • *.xml - Contient les métadonnées du shapefile (non obligatoire).

    • *.cpg - Contient des informations sur le jeu de caractères utilisé (non obligatoire, utile pour les accents).

  • Les noms de colonnes sont limités à 10 caractères

Les shapefiles pour Logo

Pour que l'importation de shapefiles dans Logo soit aussi efficace et sans erreur que possible, il convient de tenir compte des points suivants lors de la création de shapefiles.

Les trois questions les plus importantes

  1. Quel type de géométrie le shapefile doit-il contenir ?

  2. Quels attributs le shapefile doit-il contenir ?

  3. Quel type de valeurs (field type) et quelle étendue de valeurs sont requises?

Géometries

Dans Logo, les types de géométrie autorisés sont définis pour chaque type d'objet. Les espaces verts et les ouvrages peuvent être saisis sous forme de points, de lignes ou de surfaces. Les dispositifs de retenue des véhicules doivent être des lignes et seuls les points sont autorisés pour les passages piétons. Certains types d'objets peuvent en outre avoir des géométries multi-parties, d'autres non.

En ce qui concerne les géométries, la règle est la suivante :

  • Les objets doivent être saisis dès le départ dans le type de géométrie correct.

  • Si des objets apparaissent dans différents types de géométrie, ils doivent être enregistrés dans des shapefiles séparés.

Attributs

Les attributs sont également prédéfinis pour tous les types d'objets dans Logo. Cela signifie qu'il est défini quels attributs peuvent être remplis et dans quel type de champ les valeurs sont enregistrées. Logo ne présuppose pas d'attributs obligatoires, à l'exception du type d'objet, mais des attributs nécessaires peuvent être définis par le responsable des données.

Comme les en-têtes de colonne sont limités à 10 caractères dans les shapefiles, les étiquettes trop longues sont automatiquement raccourcies. Cela peut entraîner la perte de la distinction, comme dans l'exemple ci-dessous :

  • Désignation de l’ouvrage → DESIGNATIO

  • Numéro de l'ouvrage → NUMERODELO

  • Type de l’ouvrage → TYPEDELOUV

En ce qui concerne les attributs, la règle est la suivante :

  • Les attributs qui doivent être fournis doivent être clairs dès le départ.

  • Les attributs doivent avoir des intitulés de colonne uniques dans le shapefile.

Il est souvent très difficile, voire impossible, de saisir des attributs a posteriori, c'est pourquoi il vaut la peine de bien réfléchir aux informations nécessaires avant la collecte des données. Les domaines d'information suivants devraient être pris en considération à titre d'aide à la réflexion :

  • Description de l'objet – Quels sont les attributs nécessaires pour décrire suffisamment un objet ? Comment nommer clairement un objet ?

  • Référence d'axe – L'objet a-t-il une référence à un axe (route dans Logo)? Si oui, comment cet axe est-il identifié?

  • Date et périodes – Quand l'objet a-t-il été construit dans la réalité? Quand a-t-il été remis en état? Y a-t-il des délais de garantie?

  • Propriété et responsabilités – Qui est le propriétaire de l'objet? Qui est responsable de son entretien?

  • Métadonnées – Sur quelle base de données les objets ont-ils été saisis? Avec quelle précision? Quelle est l'actualité des données et quand doivent-elles être mises à jour?

  • Identification au-delà des limites du système – L'image numérique de l'objet (p. ex. objet dans Logo) doit-elle être clairement identifiable? Les informations doivent-elles être synchronisables? Quelles sont les interfaces nécessaires entre les différents systèmes?

Feldtypen und Wertebereich

In Bezug auf ein einzelnes Attribut stellt sich noch die Frage, welche Werte zulässig sind und in welcher Form sie daherkommen.

Bezüglich Feldtypen und Wertebereiche gilt:

Die Antworten auf folgende Fragen sollen von Beginn weg klar sein.

  • Ist ein Attribut zwingend?

  • In welchem Feldtyp müssen Werte geliefert werden? (Format)

  • Welche Werte sind zulässig? (Wertebereich)

  • Null und leer?

Feldtypen

In Logo kommen die folgenden Feldtypen vor:

  • Zeichenkette (string) – Freier Text, der auch Zahlen und Sonderzeichen enthalten darf. Nur eingeschränkt in der Anzahl Zeichen.

  • Ganzzahl (integer) – Ganzzahl, auf eine bestimmte Anzahl Ziffern beschränkt.

  • Fliesskommazahl (float) – Kommazahl, auf eine bestimmte Anzahl Ziffern und Stellen nach dem Komma beschränkt.

  • Katalog – Der Werteumfang wird entweder im zugehörigen Textkatalog festgelegt oder ist fix definiert (z.B. Ja/Nein).

  • Datum – Datum im Datumsformat

  • Zeit – Zeitstempel im Zeitformat

  • Jahr – Muss eine Jahreszahl enthalten (Spezialfall von Ganzzahl)

Die Umwandlung zwischen verschiedenen Feldtypen ist nicht immer trivial, deshalb sollten die Feldtypen von Anfang an sinnvoll gewählt werden.

Ein Datum kann beispielsweise als Zeichenkette, als Ganzzahl oder aber im Datumsformat gespeichert werden. Für einen Menschen mag dies keine grosse Rolle spielen, für einen Computer ist der Unterschied allerdings wesentlich:

  • 1. Januar 2023 → Zeichenketten lassen sich nicht nach Datum sortieren und können nicht für Rechenoperationen verwendet werden.

  • 01012023 → Rechenoperationen mit Datumszahlen sind ebenfalls meist nicht sinnvoll

  • 01.01.2023 → Mit Werten im Datumsformat können Rechenoperationen durchgeführt werden und Falschinterpretationen sind ausgeschlossen.
    (wie das Datumsformat dargestellt wird, lässt sich oft einstellen)

Wertebereiche

Neben dem Feldtyp spielt auch der Wertebereich eine Rolle. Je eingeschränkter der Wertebereich ist, desto einfacher ist die Plausibilitätskontrolle. Die Erfahrung hat gezeigt, dass die Genauigkeit der Daten mit zunehmender Einschränkung des Wertebereiches zunimmt. Der Interpretationsspielraum nimmt durch Einschränkung ab und Fehler fallen schneller auf.

Grundsätzlich gilt…

So eingeschränkt wie möglich, so frei wie nötig!

Bauwerke können auf unterschiedliche Arten typisiert werden:

  • Freie Zeichenkette → Sehr flexibel, aber fehleranfällig und uneinheitlich

  • Katalog mit vorgegeben Werten → Eindeutig, aber unflexibel

  • Katalog mit freien Werten → nicht ganz eindeutig, aber flexibel und wahrscheinlich am besten geeignet

Null und leer

Zu guter letzt stellt sich noch die Frage nach den leeren Werten. Bei leeren Werten stellt sich oft die Frage, ob die Angaben fehlen oder explizit leer sind. Eindeutige Angaben sind in diesem Fall immer zu bevorzugen:

  • Zahlen – “0” bedeutet explizit 0, ”leer” bedeutet “keinen Wert” (in Shapefiles steht in leeren Zellen immer Null).

  • Text – Es ist in jedem Fall besser, “keine Angaben“, “Grundlagen fehlen“ oder “unbekannt“ einzugeben, als ein Feld einfach leer zu lassen.

Grundsätzlich gilt…

Auch “keine Angaben“ ist eine Angabe!


Vorlagen geben Struktur

Damit Shapefiles möglichst im gewünschten Format daherkommen, bietet es sich an, ein entsprechendes Shapefile aus Logo zu exportieren und als Vorlage mitzuliefern.

Vorgehen:

  1. In eine Ansicht wechseln, in der der gewünschte Objekttyp vorkommt.

  2. Eines oder mehrere Objekte mit der gewünschten Geometrie/den gewünschten Geometrien auswählen.

  3. Über Aufgaben > Geodaten exportieren den Export-Dialog aufrufen.

  4. Im Export-Dialog den gewünschten Objekttypen und die benötigten Attribute wählen.

  5. Die ausgewählten Objekte als Shapefile exportieren (es wird ein Shapefile pro Geometrietyp exportiert).

  6. Zu jedem Shapefile wird eine Excel-Tabelle mitexportiert, welche die genauen Attributbezeichnungen enthält. So lassen sich nicht sprechende Spaltenübschriften im Shapefile eindeutig zuweisen.

  7. (optional) Diese Excel-Tabelle mit den gewünschten Wertebereichen ergänzen.

  8. (optional) Die Shapefiles in einem GIS-Programm öffnen und die Objekte löschen, damit später nur neu erfasste Objekte enthalten sind.

  9. Die erstellten Vorlagen dokumentieren und zustellen.


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